De mon point de vue
- La convention, haut lieu d’une rencontre physique dans un monde en digitalisation
- L’ère de la post transversalité : écoute et partage laissent place à l’engagement
- Du vent dans les cheveux : intervenants externes, sujets inspirants, partenariats nouveaux
- La fin de éléments de langage, la recherche d’émotion et de sincérité
- Enfin, la convention est un outil de communication – qui répond à un objectif, s’inscrit dans une stratégie et porte un message clé. (Ca va sans dire, mais ça va mieux en le disant)
Quelques partis-pris
- De la gestion d’un événementiel à une gestion des contenus : le fond est dans la forme et la forme est dans le fond.
- L’élaboration des contenus : savoir ce qu’on veut dire et connaître les attentes (l’indissociable duo).
- La co-construction de la convention comme condition de réussite : écoute et participation des salariés, implication des managers, engagement du CoDir.
- Il faut/ on peut/ on doit anticiper les sujets difficiles.
Une offre ciblée contenus
Co-orchestration générale et répétitions
Veille à l’homogénéité du discours, la reprise des messages, la cohérence d’ensemble
Cadrage stratégique
Un objectif
Un message
Un concept
Formalisation du déroulé
Choix des contenus
Choix des intervenants
Rythme, animation, mise en scène
Accompagnement aux prises de parole
Tps 1 : révéler et sélectionner
Tps 2 : structurer et enrichir
Tps 3 : délivrer et convaincre
Mes trois TOC*
* troubles obsessionnels compulsifs
- On commence par le début : le message, le fond, la structure du discours
- On travaille ensemble
- On ne rédige pas (à de rarissimes exceptions près)
(et 4. Plus c’est court, mieux c’est)