De mon point de vue
- Entre veille, situations sensibles, stratégies de prévention, formation, etc., la communication de crise est devenue pour de nombreuses organisations, un full time job.
- La crise a quatre ennemis structurels à affronter : le temps, le doute, la cacophonie et l’importance des enjeux. Le travail d’anticipation adresse tous ces points.
- La communication de crise peut être un facteur aggravant de la crise
- La question –capitale– de l’éthique de l’entreprise de ne se décrète pas au moment de la crise.
Pourquoi anticiper la crise ?
- Pour être prêts et ne pas pas rajouter du désordre à la crise
Le travail d’anticipation couvre tout ce qui relève de l’organisation, des process, des outils, des contenus, de l’acquisition de savoir et de savoir-faire.
- Pour pouvoir se concentrer sur l’essentiel
Le travail d’anticipation permet de délimiter le rôle de la cellule de crise -en cas de crise- à deux points et deux points seulement : l’analyse de la situation et la décision stratégique
Méthodologie
- Un état des lieux à la recherche des vulnérabilités (et des forces, toujours)
- Les procédures et outils
Procédures de veille, de décision et de validation ; les modalités de travail avec la / les cellule(s) opérationnel(le)s, les outils de gestion, outils d’aide à la décision, outils de communication - Le dispositif humain – cellule de veille, cellule(s) de crise, cellule(s) opérationnelle(s), etc. – l’information, la formation et les exercices de simulation, le plan de porte-parolat.